Le principe du frein de bôme est intéressant à considérer, je trouve.
Mais les produits sur le marché ne me paraissent pas aboutis.
Le cahier des charges devrait être :
- Lorsque peu de vent, ou au près, pour un virement vent debout ; ça ne freine pas,
- Au portant dans la brise, surtout si écoute GV choquée en grand ; ça freine,
- Ça n’encombre pas le pont,
- Idéalement, faudrait que cela soit entièrement « passif ».
Oui, bonne idée direz-vous.
De mon point de vue, faudrait que le truc se loge dans/autour du vit de mulet.
C’est là qu’est l’axe autour duquel la bôme circule d’un bord sur l’autre.
C’est là que l’on devrait pouvoir freiner les mouvements de la bôme.
Alternative haute techno (pas passif).
On doit pouvoir faire ça avec un système hydraulique, plein de capteurs, un computer, une source d’énergie pour activer l’hydraulique.
Ça va peser 100 kg et coûter 100 000 euros !
Ce n’est donc pas aujourd’hui que nous allons régler la question du frein de bôme.
Quelques-uns d’entre-nous semblent prêts à y renoncer.
Et le frein de bôme ne remplace pas une retenue de bôme.
Entre Cap-vert et Açores, lorsque le vent a molli doucement.
Alors que la mer restait formée, j’ai gréé une retenue qui a bien servi 24 heures.
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Le lazy-jack devrait être « escamotable ».
Cad venir en place seulement lorsque l’on affale la GV, lorsque l’on prend les ris.
Le reste du temps il devrait s’effacer.
Surtout lorsque l’on hisse.
Peut-être peut-on parvenir à créer un tel système en rajoutant 100 000.
Autre point de vue.
Un lazy-jack n’est pas loin de faire double emploi avec une balancine.
On peut aussi noter.
Il existe plein de bateaux, en course, où l’on ne trouve ni lazy-jack, ni balancine.
Encore.
Les fonctions de la balancine peuvent être remplacées par un hale-bas « poussant » vers le haut (rigide, ressort inside).
Un hale-bas/hale-haut, quoi.
À condition que ce hale-bas double fonction hale-haut soit très bien conçu et dimensionné pour le bateau.
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Après toutes les interventions opérées depuis le
mois de mai sur les ris d’Ovento.
Les automatiques 1 et 2 marchaient vraiment très bien (le 3 était
neutralisé).
Presque un régal de prendre un ris, même solo, même la nuit.
De plus, ya un truc de bien sur les RM anciens.
Des équipets/coffres dans les hiloires.
Dans lesquels on range les bouts.
C’est vraiment bien.
Pour le troisième ris, c’eut été plus compliqué.
Rien d’automatique.
Faut aller crocher l’œil d’amure 3ème ris dans un croc solidaire du vit de mulet.
Un seul croc, seulement sur bâbord.
Repasser la bosse pour le nouveau point d’écoute (puisque neutralisé).
Raidissage de la bosse sur winch au mât.
Un travail pour un équipage au complet, ou presque.
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D’accord Chacha.
Hisser le GV au vent arrière (par 5 ou 6 nœuds de vent apparent), c’est un truc pour un équipage.
Sur ton bateau, c’est sans doute deux personnes bien construites au pied de mât pour tirer sur la drisse, et une au winch pour reprendre/étarquer/bloquer.
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