Le peintre Gildas Flahault en remet une couche (pardon GG) contre Olivier de Kersauzon.
Je cite l'article, tiré du site 123océan.com.
:
Olivier de Kersauzon ou la trahison de la beauté !
Quelle belle gueule de beau marin il a, en noir et blanc sur la couverture de ses bouquins !
Comme tous les insouciants play-boys de la jet-set, le marin d’opérette, Olivier de Kersauzon, n’est tenu qu’à une seule responsabilité : celle de briller.
Le pétillement des bulles de champagne suffit à couvrir aisément le bruit des choses graves qui agitent le monde.
Aussi, au micro des émissions radiophoniques, peut-il se permettre de véhiculer les pires mensonges avec la légèreté et le détachement qui conviennent :
« Des baleines, on en voit partout, y en a de plus en plus. Bientôt tu traverseras les océans en passant d’une baleine à l’autre. On est prédateurs de tout dans l’océan… si on était sérieux, on redeviendrait un peu plus prédateurs de cétacés aujourd’hui ? La sauvegarde des baleines, c’est juste le truc des écolos. » Voici les propos tenus par l’arrogant gosse de riche lors de l’émission “On va se gêner” de Laurent Ruquier.
TU SAIS CE QU’ELLES TE DISENT, LES BALEINES ???
Fer de lance de la pensée pauvre, Olivier de Kersauzon est prêt à raconter n’importe quoi pour soigner son image de bel aristo anar. Son cynisme sans borne le conduit à défendre les salauds qui font fortune en bousillant le peu de beauté qui nous reste. Du moment qu’il continue à barboter bien au chaud dans sa soupe tiède. En fait, tout le bel idéal dont il fait étalage dans ses bouquins n’est que du pipeau !
En déblatérant, la starlette déguisée en grand marin affirme haut et fort que l’ ” homme” est l’être supérieur à tout ce qui bouge sur cette planète, l’être qui décide de la vie ou de la mort des espèces. Il y a une race qui gêne ! Qu’on la supprime ! Voilà qui n’est pas sans rappeler les plus belles saloperies de grande envergure qui ont sali l’humanité du vingtième siècle.
Pour l’avoir côtoyé un peu et surtout, pour connaître très bien le milieu de la course au large, je pourrais m’étaler sur la veulerie du personnage, sa couardise à la mer et son immense talent à l’humiliation des “maillons faibles”.
Mais ce serait lui accorder trop d’importance.(...)
Kersauzon, tes galons d’amiral de pacotille ne sont autres que tes pantoufles. Ferme ta grande gueule et va jouer dans le lagon."
Ho ho hoho ! Ça c'est envoyé !
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